A N C -medias

A N C -medias

A N C -plainte contre une journaliste

Publié le 22/10/2012 à 00:19 par observatoire-medias-tunisiens
Aymen Zouaghi porte plainte contre la journaliste Faten Oueslati 0 Com(s) 19-10-2012 18:02:36


L'élu d'Al Aridha Chaabia Aymen Zouaghi a porté plainte contre la journaliste de la radio nationale Faten Oueslati pour avoir accordé un temps d'antenne limité au leader du parti Hachmi Hamdi pour répondre à ses accusations. Al Aridha Chaabia connait une exclusion orchestrée par les médias malgré qu'elle soit la deuxième force du pays, a-t-il précisé. Aymen Zouaghi a indiqué que le tribunal de première instance de Tunis se penchera sur l'affaire le 30 octobre prochain

ANC_boycotée par les journalistes

Publié le 22/10/2012 à 00:05 par observatoire-medias-tunisiens
ANC:Les journalistes offensés boycottent la séance plénière 1 Com(s) 20-10-2012 13:35:14


Suite à l’intervention de la députée du Mouvement Ennahdha Hbiba Triki qui n’a pas mâché ses mots et critiqué ouvertement les journalistes en mettant en doute leur neutralité et leur patriotisme les journalistes ont décidé de boycotter la séance plénière et quitter tous sans exception la salle. Le député Sahbi Atig a quant à lui présenté des excuses aux journalistes au nom du mouvement Ennahdha et a qualifié l’intervention de Hbiba Triki « de simple Faute »

mosaique fm

ANC -petition des journalistes

Publié le 22/10/2012 à 00:03 par observatoire-medias-tunisiens

Pétition des journalistes ayant boycotté la plénière de l’ANC et Sahbi Atig rectifie le tir
publié le 20/10/2012 par C.R.
Les journalistes ayant boycotté la séance plénière du samedi 20 octobre 2012 à l'Assemblée Nationale Constituante pour avoir été insultés par la députée Halima Kanni, ont signé une pétition.

 

Pétition des journalistes ayant boycotté la plénière de l’ANC et Sahbi Atig rectifie le tir
Pétition des journalistes ayant boycotté la plénière de l’ANC et Sahbi Atig rectifie le tir
Se trouvant insultés par l’élue du parti du Mouvement Ennahdha, les journalistes ont signé une pétition dénonçant les accusations qui leur ont été adressées et imputent au mouvement Ennahdha la responsabilité de toute agression qui les viserait
Sahbi Atig, Président du bloc Ennahdha à l'ANC, a déclaré que les propos de Halima Kanni à propos des journalistes étaient une faute qui n’engage pas le Groupe parlementaire d’Ennahdha qui est conscient qu'il ne faut pas généraliser et que les journalistes ne sont pas tous pareils, et que les journalistes visés sont ceux qui servaient le pouvoir déchu.
par C.R.

conflit avec les journalistes à l'ANC

Publié le 21/10/2012 à 23:57 par observatoire-medias-tunisiens Tags : france roman png paysage affiche
ANC : Halima Kanni tire sur les médias, les journalistes boycottent la séance, Sahbi Atig s’excuse
Lors d’une intervention à l’Assemblée nationale Constituante, la députée d’Ennahdha, Halima Kanni, a regretté « l’absence de patriotisme et d’indépendance » des médias en estimant qu'ils sont tenus par les « journalistes de Ben Ali », selon ses dires et les a appelé à « plus de décence, parce que le peuple n’est pas assez naïf pour croire que ces médias militent réellement en faveur de la liberté de la presse ».

Halima Kanni a également accusé le SNJT de « recevoir des ordres de parties étrangères compromettant la réussite de la révolution et semant le chaos dans le pays » et ce, suite à la visite de l’ambassadeur français au siège du syndicat des journalistes et son soutien à leur grève en Tunisie.  Le comportement de l’ambassadeur, « soutenant les journalistes dans leur conflit avec le gouvernement » serait, selon elle, « un dépassement de ses prérogatives  et une ingérence dans les affaires de la Tunisie ».
« Il s’agit d’un comportement irrespectueux et d’une offense à la dignité des Tunisiens ainsi qu’à la souveraineté de l’Etat », ajoute t-elle, tout en appelant le gouvernement et les partis politiques à « condamner fortement ce comportement qui dénote d’un esprit colonial ».


Et de prétendre "qu'à travers ce comportement, le SNJT a perdu toute sa crédibilité, si toutefois il en avait une, et a prouvé son implication avec les ennemis de la Tunisie et de la Révolution ».
« Ce genre de médias, contre-révolutionnaires, n’a pas cessé de défendre Ben Ali et est aujourd’hui encore nostalgique de l’ancien régime ».
Mme Kanni semble ignorer l'objet de la visite de l'ambassadeur de France au siège du SNJT qui était programmée depuis longtemps et elle était destinée, juste, à soutenir la liberté de la presse en Tunisie.

Halima Kanni va même jusqu’à déclarer  « la majorité de ceux qui contrôlent les médias aujourd’hui se nourrissent de mensonges et de rumeurs et tentent de diviser les Tunisiens en imposant la discorde et la violence verbale » en concluant par : « les médias libres et honnêtes ont été exclus du paysage médiatique post-révolutionnaire ».

Suite à ces propos, l’ensemble des journalistes présents à l’hémicycle a préféré quitter la salle, en signe de protestation et d’indignation et a refusé les excuses présentées par Sahbi Atig,président du bloc parlementaire d'Ennahdha, qui a qualifié les déclarations de la députée d’ « inacceptables et ne représentant pas l’ensemble du bloc parlementaire du parti » et a appelé à « ne pas faire d’amalgame ».

S.T.

l'ANC ne communique pas bien

Publié le 27/09/2012 à 00:15 par observatoire-medias-tunisiens Tags : société travail internet pub
26/09/2012 | Mise à jour : 13:36
Tunisie - L’ANC ne communique pas convenablement !
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Dans son rapport, le Centre Carter constate que l’ANC n’a pas mené suffisamment de campagnes d’information sur ses travaux, alors que de telles campagnes pourraient favoriser une meilleure compréhension par le public des tâches de l’Assemblée et accroître sa légitimité.


La couverture médiatique des travaux de l’ANC a parfois manqué de profondeur ; une couverture plus équilibrée et professionnelle du processus pourrait contribuer à rapprocher les élus de leurs concitoyens en offrant des éclaircissements sur leurs travaux.
Le Centre Carter salue les récentes initiatives entreprises par l’ANC pour faire participer les citoyens à travers un système de consultation mis en ligne sur le site internet de l’ANC, l’organisation de débats avec la société civile, et la programmation d’un débat national sur la Constitution dans les projets de calendriers de l’ANC. Toutefois, le temps prévu dans les différents calendriers pour la tenue de consultations nationales sur le projet de Constitution reste insuffisant.
Il conviendrait de prévoir suffisamment de temps pour cette étape, afin de permettre l’écoute et l’enregistrement précis des contributions des citoyens, ainsi que leur analyse approfondie.

Le Centre Carter se félicite qu’à la mi-juin tous les rapports provisoires des six commissions aient été publiés sur le site internet de l’ANC, de même que 22 rapports d’autres commissions, au moment de la rédaction de la présente déclaration. Le Centre remarque cependant que d’autres documents tels que les résultats des votes, les listes de présence des députés, ainsi que les procès-verbaux des réunions des commissions ne sont pas publiés, en dépit du fait que le droit d’accès à l’information est essentiel pour garantir la transparence et la participation active de toutes les parties prenantes dans le processus de rédaction de la Constitution.
Si le règlement intérieur de l’ANC laisse à penser que ses membres reconnaissent l’importance du principe de transparence, force est de constater que les dispositions se rapportant à l’accès aux sessions de travail des commissions et aux séances plénières de l’Assemblée ont été interprétées de manière inégale et le plus souvent restrictive s’agissant des organisations de la société civile, compromettant ainsi leur accès effectif aux débats.
 

LIBERTE D'EXPRESSION DANS LA CONSTITUTION

Publié le 31/03/2012 à 16:14 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article monde afrique
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 "L'Article 19" rend public un rapport sur la liberté d'expression et de l'information dans la Constitution tunisienne "L'Article 19" a rendu public hier un rapport sur la Tunisie, intitulé "La liberté d'expression et la liberté de l'information dans la nouvelle Constitution". "L'Article 19", une organisation internationale qui œuvre à promouvoir la liberté d'expression et l'accès à l'information dans le monde, a ouvert il y a une semaine un bureau régional à Tunis qui va représenter l'Afrique du nord et le Moyen-Orient.
  "L'article 19" a lancé le rapport sur la Tunisie aujourd'hui, en marge de l'organisation, les 29 et 30 mars au Kef, de son 2ème séminaire régional sur les garanties de la liberté d'expression dans la Constitution, après un premier séminaire qui s'était tenu au mois de février à Sbeilta.   A travers la publication de ce rapport, "l'article 19" veut "appuyer la rédaction de la Constitution tunisienne" en présentant des recommandations sur les normes juridiques et les dispositions internationales de par le monde visant à protéger la liberté d'expression et la liberté d'information dans la nouvelle Constitution. Des membres de l'organisation avaient présenté, mardi 27 mars dernier, les principales recommandations de ce rapport à la Commission des droits et des libertés à l'Assemblée nationale constituante, indique l'attaché de presse de l'organisation. Le rapport souligne que la protection des droits humains doit être au cœur de la nouvelle Constitution tunisienne. Il propose d'"établir une large définition de la liberté d'expression pour inclure le droit de rechercher, recevoir et diffuser des informations et des idées, pour couvrir toutes les formes d'expression et modes de communication". "L'Article 19" recommande également que la nouvelle Constitution protège la liberté de l'information et de l'accès à l'information et appelle à la protection de la liberté des médias dans la Constitution qui "devrait être explicite". Cela inclut qu'il ne doit pas y avoir de censure préalable et que le droit des journalistes à protéger leurs sources confidentielles d'information doit être garanti, précise le rapport. Il décrit les mécanismes propres à protéger les droits constitutionnels notamment par le biais d'un tribunal ou Cour constitutionnelle.

GASSAS ET LA LIBERTE DE LA PRESSE DANS LA CONSTITUTION

Publié le 14/03/2012 à 23:42 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article

Le groupe parlementaire d'Al Aridha a déposé, mardi 13 mars 2012, une demande officielle auprès de la présidence de l'Assemblée nationale constituante pour tenir une séance plénière extraordinaire.

Selon Brahim Gassas, membre du groupe parlementaire, qui est intervenu sur les ondes de Mosaïque FM, cette séance plénière viserait à rediscuter les lois sur la presse pour y inclure un article interdisant l'emprisonnement des journalistes dans des affaires de publication. Brahim Gassas, qui précise ne pas avoir reçu jusqu’à ce moment une réponse de la part de la présidence de la Constituante, souligne que son groupe parlementaire considère que la liberté de la presse et la dignité des journalistes représentent une ligne rouge à ne pas franchir.

GASSAS ET LA LIBERTE DE LA PRESSE

Publié le 14/03/2012 à 23:42 par observatoire-medias-tunisiens Tags : article

Le groupe parlementaire d'Al Aridha a déposé, mardi 13 mars 2012, une demande officielle auprès de la présidence de l'Assemblée nationale constituante pour tenir une séance plénière extraordinaire.

Selon Brahim Gassas, membre du groupe parlementaire, qui est intervenu sur les ondes de Mosaïque FM, cette séance plénière viserait à rediscuter les lois sur la presse pour y inclure un article interdisant l'emprisonnement des journalistes dans des affaires de publication. Brahim Gassas, qui précise ne pas avoir reçu jusqu’à ce moment une réponse de la part de la présidence de la Constituante, souligne que son groupe parlementaire considère que la liberté de la presse et la dignité des journalistes représentent une ligne rouge à ne pas franchir.

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